Gestion et Conservation des Espaces Naturels

Présentation du Programme

Les figures de protection des domaines naturels protégés peuvent jouer un rôle prépondérant dans les prochaines années comme expérimentation de modèles de développement durable. Les espaces naturels ont tendance à diversifier leurs possibilités, en offrant des fonctions de loisir et de développement, en plus des fonctions traditionnelles.

A partir d´une approche éminemment pratique, le programme de Gestion et de Conservation des Espaces Naturels est axé sur l´étude, d´une part de la conservation des espaces naturels et de leurs ressources, et d’autre part de la gestion de ceux-ci sous la forme d’une planification territoriale correcte et d’un développement durable.

En ce qui concerne la conservation, des aspects de la diversité sont traités, tant au niveau génétique, des espèces et des communautés, en insistant sur les méthodologies les plus employées à l´heure actuelle pour assurer leur pérennisation. Quant à la gestion, sont abordés les concepts d´intervention dans les différentes typologies d´espaces, tant terrestres que marins, ainsi que l´interaction entre le milieu urbain et le milieu naturel, de façon intégrale.

A qui le Master s'adresse-t-il?

Le programme de Gestion et Conservation des Espaces Naturels est conçu spécialement pour répondre aux besoins de deux types de public:

  • Personnes sans diplôme universitaire qui, de par leurs caractéristiques personnelles ou leur expérience, souhaitent une formation de qualité dans ce domaine.
  • Diplômés de l´enseignement supérieur qui, en plus de leur formation de base, désirent une spécialisation pratique dans la gestion des espaces naturels pour pouvoir élargir leurs débouchés professionnels.

Diplôme

La réalisation avec succès du programme vous permettra d'obtenir le diplôme de Spécialité en GESTION ET CONSERVATION DES ESPACES NATURELS.

À la fin du Programme, l'étudiant recevra le diplôme de l'Université dans laquelle il s'est inscrit.

Structure du Programme

La structure des crédits du programme de Gestion et Conservation des Espaces Naturels est présentée dans le tableau suivant. Il convient de noter que la durée est purement indicative, car la méthodologie suivie intègre les connaissances et les compétences à acquérir dans chaque partie, par le biais d'exercices d'intégration pour l'acquisition de connaissances et l'internalisation des pratiques du projet :

  CRÉDITSa
Matières 30

a. L'équivalence en crédits peut varier selon l'université où vous vous êtes inscrit. Un (1) crédit ECTS (European Credit Transfer System) équivaut à 10 + 15 heures. Si l'étudiant est inscrit dans une université qui n'appartient pas à l'Espace européen de l'enseignement supérieur (EEES), le rapport entre les crédits et les heures peut varier.

Durée

Le programme en Gestion et Conservation des Espaces Naturels comporte 30 crédits.

La durée du programme en Gestion et Conservation des Espaces Naturels varie entre 9 et 12 mois, en fonction de l'engagement de l'étudiant. Au cours de cette période, l'étudiant doit avoir réussi toutes les activités évaluées et le Projet Final approuvé, le cas échéant.

Objectifs

Objectif général:

  • Acquérir les connaissances nécessaires pour la conservation des espaces naturels et les propres ressources, ainsi que déterminer leur gestion en fonction de ce que doit être une planification territoriale correcte dans le cadre du développement durable.

Objectifs spécifiques:

  • Etablir des critères naturels, socio-économiques et législatifs, en vue de réaliser une gestion correcte des espaces naturels.
  • Connaître les accords et traités existant entre Etats, qui établissent les politiques de gestion et de conservation de la biodiversité et des domaines naturels, en mettant l´accent sur la prise en charge de ces questions dans les politiques internationales.
  • Analyser les principales causes de réduction et perte de la diversité biologique et les solutions possibles à prendre en compte pour l´éviter.
  • Identifier les facteurs critiques et les niveaux d´étude dans la monitoring de la biodiversité et déterminer quel type d´indicateurs s’utilisent habituellement.
  • Connaître les différentes biomasses terrestres, leur répartition, les principales caractéristiques climatiques, la végétation et la faune, ainsi que les principales pressions anthropogéniques qui mettent en péril leur maintien et leur conservation.
  • Déterminer l´apparition, tout au long de l´histoire de l´humanité, des différents modèles d´exploitation du territoire et des principaux moteurs de changement pour, de cette manière, caractériser un écosystème exploité contrairement à un système écologique naturel.
  • Évaluer les différentes stratégies de conservation adoptées à l´échelle nationale et internationale, et les mettre en relation pour obtenir une efficacité maximale dans la conservation des ressources et dans l´identification des priorités que doit avoir une stratégie globale.

Opportunités de carrière

Parmi les débouchés professionnels du Programme de Gestion et Conservation des Espaces Naturel, nous pouvons citer:

  • Garde-forestier.
  • Emploi dans les mairies comme technicien/conseiller en ressources forestières.
  • Enseignement.

Programme d'études

Le programme de Gestion et Conservation des Espaces Naturels est composé de huit matières, y compris des cas pratiques d´étude sur la gestion d’espaces naturels.

Les matières permettent de connaître et comprendre, en premier lieu, les fondements théoriques, conceptuels et historiques impliqués dans la gestion des espaces naturels et, en second lieu, leur mise en œuvre organisationnelle, sociale et technologique-

L´objectif est d´obtenir que les étudiants acquièrent une vision globale des espaces naturels, à travers différentes thématiques multidisciplinaires y afférant.

Les matières et heures correspondant au programme de Gestion et Conservation des Espaces Naturels sont indiquées dans le tableau suivant:

Ces matières, en dépit d´être indépendantes entre elles, sont structurées selon un ordre pédagogique cohérent qui facilite leur compréhension d´une moindre ou plus grande complexité. Chaque matière est divisée en unités thématiques de base ou chapitres, dont le contenu inclut le matériel imprimé qui doit être étudié pour répondre de façon satisfaisante aux tests d´évaluation.

Description des sujets

  1. LES ZONES NATURELLES DANS LE CONTEXTE DES SOCIÉTÉS.

    À titre d’introduction, on réexamine, de façon chronologique, la relation de l'homme avec la nature, ayant une incidence sur les facteurs socioéconomiques qui, à leur tour, influent sur la gestion de l’environnement. À cet effet, on procède à l’identification des principaux organismes à des fins écologiques, les conventions, les traités et les politiques actuellement utilisés pour la protection de la nature.

    ÉVOLUTION HISTORIQUE DE LA RELATION HOMME-NATURE
    La préhistoire. Antiquité. Le Moyen-Âge. La grande rupture. Les XIXe et XXe siècles. Le capitalisme. La situation actuelle. Perspectives d’avenir.
    ÉCONOMIE ET NATURE
    Théories économiques pour un modèle de gestion de la nature. Nouvelles tendances dans la pensée économique. Distanciation et mondialisation économique. La coévolution des grandes sociétés modernes.
    IMPORTANCE DE LA CONSERVATION DE L’ENVIRONNEMENT DANS LE MONDE
    Organismes internationaux à des fins écologiques. Organismes européens à des fins écologiques. Organismes américains à des fins écologiques. Conventions, traités et politiques de portée internationale pour la protection de la nature. Conventions, traités et politiques de portée européenne pour la protection de la nature. Conventions, traités et politiques de portée américaine pour la protection de la nature.
  2. BIODIVERSITÉ.

    La biodiversité est un outil indispensable pour la gestion d’un espace naturel : par conséquent, il faut expliquer ce qu’on entend par biodiversité, son importance au sein d’un système naturel, les outils permettant de la mesurer et, enfin, il faut savoir interpréter le sens des changements qui se produisent.

    CONCEPT DE LA BIODIVERSITÉ
    Introduction. Définition de biodiversité. Diversité et biodiversité : deux concepts non équivalents. Importance de la biodiversité. La valeur de la biodiversité. La diversité culturelle.
    NIVEAUX DE BIODIVERSITÉ
    Introduction : perspectives d’approche de la biodiversité, classification de la biodiversité, composition, fonctionnalité. Diversité génétique : le matériel héréditaire, la nature du changement (mutation et recombinaison), dérive génétique contre sélection naturelle (processus de spéciation), perte de variabilité génétique, les limites de la génétique dans la conservation. Diversité des espèces : le concept d’espèce et de population, typologie des espèces (des endémismes aux espèces exotiques), extinction et spéciation, quantité d’espèces et leur répartition dans le monde, les limites à la diversité des espèces (limites de l’évolution et limites écologiques). Richesse des écosystèmes et des biomes : typologie des écosystèmes et des biomes, diversité d’écosystèmes dans le monde (superficie et répartition).
    INDICATEURS DES CHANGEMENTS DANS LA DIVERSITÉ BIOLOGIQUE
    Indicateurs génétiques : diversité allélique, présence/absence d’allèles peu communs, hétérozygosité, polymorphisme phénotypique, niveau d’échange génétique entre les populations, etc. Indicateurs de population-espèce : abondance absolue et relative, répartition et dispersion d’espèces, croissance démographique et fluctuation d’espèces d’intérêt particulier, fertilité, fécondité, survie, etc. Indicateurs de communauté-écosystème : identité, abondance relative, richesse, fréquence de répartition par âges, pourcentage d’espèces exotiques par rapport aux natives, etc. Indicateurs de paysage : identité, distribution, richesse et proportions sur une portion du territoire tout au long du paysage, pourcentage de territoire exposé à l’impact de bord, indicateurs de perturbation, etc.
    L’AVENIR DE LA BIODIVERSITÉ
    Le catalogage de la biodiversité mondiale : critères d’inventaire. L’étude des points chauds de diversité (Hot spots) Le programme d’évaluation rapide (PÉR). Le système BIOTROP (programme biologique pour la diversité néotropicale). Le modèle de Wilson. L’approche de WWF.
  3. LES ESPACES NATURELS. TYPOLOGIES PROCESSUS.

    L’utilité et l’intérêt d’établir une classification des espaces naturels sont indéniables, car cela implique la connaissance des grandes similitudes de la Terre au-delà des petites différences. De cette manière, on établit des critères d’identification des aspects de ces zones naturelles, ce qui permet de les classer. On traite également en profondeur les processus écologiques qui se produisent dans la nature et qui se sont révélés essentiels pour la préservation de la diversité biologique et la conservation des espaces naturels.

    TYPOLOGIE DES ESPACES NATURELS
    Les biomes terrestres : forêts tropicales. Forêts pluviales sous-tropicales et tempérées. Forêts de conifères de la zone boréale. Forêts d’arbres à feuilles caduques des zones tempérées et subpolaires. Forêts et brousses sempervirentes sclérophylles. Déserts et semi-déserts. Communautés de toundra et déserts arctiques décapés. Prairies tropicales et savanes. Systèmes mixtes de montagne et de hauts-plateaux. Les biomes aquatiques : zones humides. Mangroves. Récifs coralliens. Les reliefs karstiques.
    PROCESSUS ÉCOLOGIQUES DANS LES ESPACES NATURELS
    Processus au niveau de la population : structure génétique de la population. Interactions entre les individus et leur environnement. Processus au niveau de la communauté : la nature de la communauté. Indices de diversité. Le processus de succession et ses types. Le concept de climax. Causes de la succession. La concurrence, la prédation et la perturbation dans la structure des communautés : effets de la concurrence. Effets de la prédation et la perturbation. Processus au niveau de l’habitat : introduction. Dégradation et perte des habitats. Pollution. Travaux et infrastructures. Déforestation. Désertification. Fragmentation des habitats. Le processus de fragmentation. Effet de lisière. L’insularité.
  4. UTILISATIONS DES ESPACES NATURELS.

    Il est question de présenter les utilisations et les activités menées par l’homme dans les espaces naturels, en introduisant des concepts relatifs à l’utilisation du territoire et à l’exploitation des écosystèmes. De manière analogue, on effectue une revue exhaustive des différents modèles d’utilisation du territoire et les principaux moteurs de changement tout au long de l’histoire de l'humanité.

    INTRODUCTION
    Système écologique, utilisation du territoire et exploitation. Fondements écologiques de l’exploitation d’un écosystème. Antécédents historiques. Utilisations et activités dans les zones naturelles.
    SYSTÈMES DE PRODUCTION AGRICOLE
    Les systèmes agricoles de nos jours : grandes cultures des steppes. Céréaliculture sans irrigation dans la région du biome méditerranéen. La culture maraîchère. La culture dans les anciennes zones coloniales de climat tropical. Culture sur brûlis. La culture du riz de subsistance intensive.
    SYSTÈME D’ÉLEVAGE
    Caractéristiques générales. Modèles d’élevage : Types d’élevage intensif. Élevage extensif sédentaire. Élevage nomade. Élevage transhumant. Le modèle agrosilvopastoral des espaces du centre-ouest et du sud-ouest de la Péninsule Ibérique.
    SYSTÈME DE PRODUCTION SYLVICOLE
    Concepts généraux. Types d’exploitations forestières : atarasque. Abattage. Déboisement successif. Sylviculture de rétention variable. Exploitation minière des forêts. Plantations et reboisement. Situation actuelle des forêts dans le monde. Utilisations les plus importations des forêts de nos jours.
    PÊCHE
    Situation actuelle de la pêche. Les milieux de pêche : rivières, lacs, barrages et zones humides. La zone littorale. Les océans. Types de pêche : la pêche traditionnelle et la pêche industrielle. La pêche sportive.
    ACTIVITÉ CINÉGÉTIQUE.
    Situation actuelle de la chasse dans le monde. Introductions de la faune. Types d’activités cinégétiques : chasse de subsistance, chasse sportive, chasse commerciale.
    CUEILLETTE
    La cueillette aujourd’hui. Typologies des cueillettes : cueillette de subsistance, cueillette à grande échelle, cueillette de produits de qualité.
  5. LA PRÉSERVATION DES ESPÈCES ET DES ZONES NATURELLES.

    La conservation de la nature est un processus de maintien des ressources naturelles impliquant des facteurs biologiques, économiques, politiques, sociaux et anthropologiques. Tenant compte de ces facteurs, on caractérise les différentes stratégies de préservation adoptées à l’échelle nationale et internationale et on identifie les priorités d’une stratégie globale pour parvenir à une efficacité maximale.

    LA CONSERVATION : NOTIONS PRÉLIMINAIRES
    Stratégies de préservation : politiques préventives, politiques de préservation des espaces, politiques de préservation des espèces. La préservation en tant que processus en quatre étapes : la protection, la planification, la gestion et le surveillance/suivi.
    LA PRÉSERVATION DES ESPÈCES PROTÉGÉES
    La protection des espèces : les espèces menacées selon l’UICN, les priorités de conservation, en fonction de l’état de la menace, caractère emblématique, singularité génétique, fonction écologique, etc. Planification de la protection des espèces : cadre juridique international (convention CITES), types de plans (d’action, de conservation, de récupération), le processus de planification (évaluation des menaces, objectifs, priorités d’action, support scientifique et technique, évaluation des coûts), la structure et le contenu du plan. Gestion et suivi des espèces menaces : méthodes.
    LA PRÉSERVATION DES ESPACES PROTÉGÉS
    Concept de zone naturelle protégée. Les zones naturelles protégées dans l’histoire : antécédents de la protection des espaces. Classification des zones naturelles protégées : catégories de protection et catégories de gestion, catégories selon l’UICN, les réserves de la biosphère, catégories de la WWF. Objectifs des zones naturelles protégées. Processus de sélection de zones naturelles protégées : critères et contraintes. Aspects critiques dans le succès des réserves en fonction des théories de la conservation : la taille de la réserve, les dynamiques et l’hétérogénéité, le contexte du paysage, la connectivité entre les habitats fragmentés, les éléments naturels et artificiels d’une réserve, les zones tampons. Autres considérations au sujet des zones naturelles protégées : le problème de la certitude du changement et l’incertitude de sa direction, implications anthropologiques et sociales dans la conservation des réserves, aspects politiques et économiques dans la conservation des réserves. Les zones naturelles protégées : catégories et caractérisation.
  6. LA GESTION DES ESPACES NATURELS.

    Les principes de base pour la bonne gestion de la conservation sont largement expliqués dans cette section, tout comme les méthodes de gestion durable d’une zone naturelle. Par conséquent, il faut préciser le profil du gestionnaire et son rôle tant dans la prise de décisions que dans la résolution des conflits. On expose également le besoin et la méthodologie de surveillance de l’espace naturel objet de l’étude.

    LA GESTION POUR ATTEINDRE LES OBJECTIFS DE LA CONSERVATION : PRINCIPES GÉNÉRAUX
    Pourquoi la gestion est-elle nécessaire ? Quatre principes de bases pour une bonne gestion de la conservation : la perpétuation des processus écologiques et la composition de la biodiversité, la minimisation des menaces externes et la maximisation des bénéfices, la conservation des processus d’évolution et la flexibilité de la gestion, un tant soit peu intrusive.
    LA GESTION POUR ATTEINDRE LES OBJECTIFS DE LA CONSERVATION : APPLICATIONS
    Comment élabore-t-on les décisions pour la gestion des réserves ? La gestion des niveaux de population. La gestion des habitats. La gestion des écosystèmes. L’intégration des zones naturelles dans leur milieu.
    ORGANES COLLABORATEURS : PARTICIPATION PUBLIQUE
    Le rôle du gestionnaire : profil, prise de décisions, résolution de conflits. L’intégration de groupes interinstitutionnels dans la gestion d’une zone naturelle : principaux groupes impliqués, l’implication de la société civile dans le processus de décision, les dynamiques d’interaction, les fora de discussion, l’évaluation des progrès, etc.
    CONTRÔLE ET SUIVI DE LA GESTION DANS LES ZONES NATURELLES
    Le contrôle et le suivi dans la planification de la gestion d’une zone naturelle : méthodes de contrôle. L’utilisation d’indicateurs : indicateurs de biodiversité, conservation du paysage, développement de la zone, etc.
  7. RESTAURATION ÉCOLOGIQUE.

    Dans cette section, on acquerra, de façon simple et pratique, les connaissances nécessaires pour mener à bien la restauration durable d’un environnement perturbé. À cet effet, sans oublier les critères paysagers, on établira les critères à appliquer dans le choix de l’utilisation finale de la zone restaurée, le choix de la méthode et du matériel de restauration et, enfin, la conception des étapes du processus de restauration.

    QU’EST-CE QU’UNE RESTAURATION ÉCOLOGIQUE ?
    Concepts préliminaires : restauration, réhabilitation, récupération, récréation, etc. Le rôle de la restauration écologique dans la conservation : un processus complémentaire à la conservation. Modalités de la restauration écologique.
    LES ÉVALUATIONS D’IMPACT ET LA RESTAURATION ÉCOLOGIQUE
    Éléments du processus : impact environnemental, fragilité de l’environnement, indicateurs d’impact environnemental, extension d’un impact, importance d’un impact. Éléments intrinsèques : l’étude d’impact environnemental. Contenu et méthodologie générale de l’EIE : analyse du projet et ses alternatives, identification des facteurs environnementaux de l’environnement susceptibles d’être affectés. Identification des impacts : matrices cause-effet, matrices échelonnées, etc. Autre méthodes d’identification et d’évaluation d’impacts : systèmes de réseau et graphiques, systèmes cartographiques, méthodes fondées sur les indicateurs, méthodes quantitatives, etc. La restauration écologique dans le processus d’évaluation d’impact.
    ASPECTS PRÉLIMINAIRES AU PROCESSUS DE RESTAURATION
    Aspects centraux dans la restauration écologique : identification des processus de dégradation, définition d’objectifs réalisables, développement de méthodologies pour atteindre les objectifs, introduction des méthodes dans la gestion du territoire et dans la planification stratégique, contrôle de la restauration. Le produit : retourner à la situation de l’écosystème de départ. Viabilité et authenticité : questionnaires pour établir la planification, comportement et évaluation des projets de restauration. Échelle du projet de restauration : détermination des niveaux dans le projet de restauration. Coûts : détermination de techniques pour l’évaluation des coûts.
    LE PROCESSUS DE RESTAURATION ÉCOLOGIQUE
    Techniques et processus utilisés dans la restauration écologique : conservation in situ (perpétuation de la vie sauvage, exploitations agricoles/élevages d’espèces autochtones). Conservation ex situ (parcs zoologiques, aquariums, jardins botaniques, banques de gènes et de graines).
  8. CAS PRATIQUES DE GESTION ET CONSERVATION DES ESPACES NATURELS.

    Compilation d'exemples pratiques d'aujourd'hui par rapport au processus de planification de la gestion et de la conservation d'un espace naturel, avec l’intégration des concepts de restauration écologique en cas de production de l'altération de l'environnement causée par l'emplacement d'une installation ou la réalisation d’une activité dans la région.

    Exemple pratique du processus de participation des différents acteurs interinstitutionnels.
    Étude de la récupération d'une carrière.

REMARQUE : Le contenu du programme académique peut être soumis à de légères modifications en fonction des mises à jour ou des améliorations effectuées.

Direction

  • Dr. Eduardo García Villena. Directeur du Domaine Environnement Université Internationale Ibéro américaine (UNINI)

Professeurs et auteurs

  • Dr. Ángel M. Álvarez Larena. Dr. en Géologie. Prof. à l´Université Autonome de Barcelone
  • Dr. Roberto M. Álvarez. Prof. à l´Université de Buenos Aires.
  • Dr. Óscar Arizpe Covarrubias. Prof. à l´Université Autonome de Basse Californie Sud, México
  • Dr. Isaac Azuz Adeath. Prof. à l´Université Autonome de Basse Californie Sud, México
  • Dr. David Barrera Gómez. Docteur par l´Université Polytechnique de Catalogne
  • Dr. Brenda Bravo Díaz. Prof. à l´Université Autonome Métropolitaine, México
  • Dr. Rubén Calderón Iglesias. Prof. à l´Université Européenne Miguel de Cervantes
  • Dr. Leonor Calvo Galván. Prof. à l´Université de León. Espagne
  • Dr. Olga Capó Iturrieta. Dr. Ingénierie Industrielle. Prof. à l´Institut de Recherches Agropastorales du Chili
  • Dr. Alina Celi Frugoni. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. José Cortizo Álvarez. Prof. à l´Université de León. Espagne
  • Dr. Antoni Creus Solé. Dr. en Ingénierie Industrielle
  • Dr. Juan Carlos Cubría García. Prof. à l´Université de León. Espagne
  • Dr. Raquel Domínguez Fernández. Prof. à l´Université de León
  • Dr. Luís A. Dzul López. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. Xavier Elías Castells. Directeur de la Bourse de Sous-produits de Catalogne
  • Dr. Milena E. Gómez Yepes. Dr. en Ingénierie de Projets. Prof. à l´Université del Quindío, Colombie
  • Dr. Ramón Guardino Ferré. Dr. en Ingénierie de Projets. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. Emilio Hernández Chiva. Dr. en Ingénierie Industrielle. Centre Supérieur de Recherches Scientifiques, CSRS
  • Dr. Cristina Hidalgo González. Prof. à l´Université de León
  • Dr. Francisco Hidalgo Trujillo. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. Víctor Jiménez Arguelles. Prof. à l´Université Autonome Métropolitaine. México
  • Dr. Miguel Ángel López Flores. Prof. à l´Institut Polytechnique National (CIIEMAD-IPN)
  • Dr. Izel Márez López. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. Carlos A. Martín. Prof. à l´Université Nationale du Littoral, Argentine
  • Dr. Isabel Joaquina Niembro García. Dr. en Ingénierie de Projets. Prof. Du Centre Technologique de Monterrey
  • Dr. César Ordóñez Pascua. Prof. à l´Université de León
  • Dr. José María Redondo Vega. Prof. à l´Université de León. Espagne
  • Dr. Gladys Rincón Polo. Prof. à l´Université Simón Bolívar, Venezuela
  • Dr. José U. Rodríguez Barboza. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. Ramón San Martín Páramo. Dr. en Ingénierie Industrielle. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. Raúl Sardinha. Prof. à l´Institut Piaget, Portugal
  • Dr. Héctor Solano Lamphar. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. Martha Velasco Becerra. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • Dr. Alberto Vera. Prof. à l´Université Nationale de Lanús, Argentine
  • Dr. Margarita González Benítez. Professeur à l´Université Polytechnique de Catalogne, Espagne.
  • Dr. Lázaro Cremades Oliver. Professeur à l´Université Polytechnique de Catalogne, Espagne
  • Dr. Pablo Eisendecher Bertin. Avocat, Docteur en Droit Économique et des Affaires, Master en Droit Public, Master en Droit et Affaires Internationales, Master en Résolution de conflits et Médiation. Actuellement Directeur de la Fondation Universitaire Ibéro-américaine au Chili et au Paraguay.
  • Dr. Kilian Tutusaus. Maîtrise en Sciences de la mer. Département de l'Environnement de la Fondation Universitaire Ibéro-américaine (FUNIBER). Docteur de l’UPC.
  • Dra. (c) Karina Vilela. Prof. au Département d´Environnement de FUNIBER
  • Dr. (c) Erik Simoes. Prof. à l´Université Internationale Ibéro américaine
  • M. Omar Gallardo Gallardo. Prof. à l´Université de Santiago du Chili
  • Mme. Susana Guzmán Rodríguez. Prof. à l´Université Centrale de l´Equateur
  • Mme. Icela Márquez Rojas. Prof. à l´Université Technologique de Panamá

Bourses

La Fondation Universitaire Ibéro-américaine (FUNIBER) consacre périodiquement une enveloppe financière à des Bourses de Formation FUNIBER.

Pour demander la bourse, il suffit que l´intéressé remplisse le formulaire de demande de bourse de la page principale du portail avec les données requises, et le Comité d´Evaluation étudiera la pertinence de la candidature pour l´octroi d´une aide financière, sous forme de Bourse de Formation FUNIBER.